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Le ‘high’ du courreur, sensation bien connue de tous ceux qui pratiquent la course à pied, à été récemment étudié : La sensation euphorique de la course à pied est associée à des endocannabinoïdes et à d’autres neurotransmetteurs
Les endorphines, les endocannabinoïdes, les monoamines et les neurotrophines ont tous été impliqués dans la réponse euphorique à la course d’endurance, connue sous le nom de high du coureur.
Les mécanismes épi-transcriptionnels régulant cet effet n’ont pas été définis. Ici, les chercheurs ont voulu étudier les modifications périphériques de l’acide micro-ribonucléique (miARN) propres aux athlètes en proie à l’euphorie post-course, ce qui permet de mieux comprendre les réseaux de gènes qui contrôlent le niveau élevé du coureur.
Réalisé à la Faculté Mariste du Département de Biologie, à Poughkeepsie New York aux États-Unis, et disponible en cliquant ici, cette étude à été mise en ligne début 2019.
Les 25 participants ont été divisés en groupes de coureur élevé (RH) et élevé (non-coureur) (NRH) sur la base d’enquêtes sur quatre critères (humeur, perte de sens du temps, qualité de la course et euphorie).
Des mesures physiologiques ont également été enregistrées (température, fréquence cardiaque, pression artérielle, dilatation pupillaire, sérotonine salivaire).
Sur ces 25 coureurs, les chercheurs ont découvert des modifications de l’activité des gènes impliquant les endorphines, les endocannabinoïdes et le GABA chez ceux que l’on appelle les coureurs de haut niveau.
Ainsi, ils concluent :
Une dynamique unique de la concentration en miARN se produit chez les athlètes avec des preuves subjectives / objectives de la haute concentration du coureur, ciblant les gènes impliqués dans la signalisation des endorphines, endocannabinoïdes et GABAergiques.
Article rédigé par Hexagone Vert
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